Quel beau couple que Monsieur et Madame de Montespan, un mariage d’amour, joyeux, consommé dans la bonne humeur jusqu’au jour où…. Madame devint la maîtresse de Louis XIV.
Il aurait pu en tirer de la fierté, voire s’effacer devant le roi. Mais le marquis n’entend pas être cocufié, même par le roi soleil, sans montrer ses humeurs.
Il entend bien reconquérir sa femme et pour cela il ne recule devant rien, monte maints stratagèmes… tous voués à l’échec. Il tentera même d’attraper la petite vérole dans le but de contaminer la cour entière !!! Son carrosse s’ornera de cornes de cerf, quitte à agrandir la porte de son château.
L’argent du roi, les titres, les honneurs du roi pour qu’enfin le marquis se taise ne seront d’aucun effet.
Plus la Montespan brille à Versailles et satisfait les appétits sexuels du roi, plus le marquis s’acharne.
On est bien triste pour lui, mais surtout mort de rire à la lecture de ce livre.
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