de Patrick Rambaud
Grasset, Prix Goncourt 1997
Il s’agit de la bataille d’Esling menée par Napoléon contre les Autrichiens. Elle marque un tournant historique ne se soldant pas pour la première fois par une victoire mais par une retraite. La suite de l’histoire est connue.
Mais il s’agit d’un roman historique qui nous raconte la brutalité et la violence des guerres napoléoniennes. Rien ne manque dans les descriptions de Patrick Rambaud qui s’est largement documenté sur le quotidien de la vie de ceux qui mènent la bataille devant Vienne.
Il donne surtout de la vie à son texte : on y est presque au milieu de cette mêlée, dans le bain de sang qui fera en deux jours 40 000 morts et des dizaines de milliers de mutilés, dans la sauvagerie des corps à corps ou les ravages de la mitraille et des boulets.
Avec aussi au cœur un Napoléon colérique et paranoïaque loin de la description que nous a livré Abel Gance dans son film.
Grasset, Prix Goncourt 1997
Il s’agit de la bataille d’Esling menée par Napoléon contre les Autrichiens. Elle marque un tournant historique ne se soldant pas pour la première fois par une victoire mais par une retraite. La suite de l’histoire est connue.
Mais il s’agit d’un roman historique qui nous raconte la brutalité et la violence des guerres napoléoniennes. Rien ne manque dans les descriptions de Patrick Rambaud qui s’est largement documenté sur le quotidien de la vie de ceux qui mènent la bataille devant Vienne.
Il donne surtout de la vie à son texte : on y est presque au milieu de cette mêlée, dans le bain de sang qui fera en deux jours 40 000 morts et des dizaines de milliers de mutilés, dans la sauvagerie des corps à corps ou les ravages de la mitraille et des boulets.
Avec aussi au cœur un Napoléon colérique et paranoïaque loin de la description que nous a livré Abel Gance dans son film.
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