de Patrick Rambaud de l’Académie Goncourt
Ed. Grasset
En plein débat sur le droit à la caricature, lire ces chroniques de Patrick Rambaud minimise la férocité de Stéphane Guillon.
Rambaud nous livre la description de notre nouveau monarque (en s’en prenant y compris à son physique !) et de sa cour.
Débuté dés le lendemain de l’élection de Sarkozy, il s’appuie sur la réalité et les soi-disant pour décrire les turpitudes du souverain et de son entourage.
La raillerie fait mouche. Rambaud ramène marquis et barons de l’entourage proche du souverain à l’état de valets, de faire-valoir soumis. On rit avec lui de ses facéties, de la déférence qu’il utilise.
Un regard de plus sur l’ultra présidence qui ne manque pas de panache.
Ed. Grasset
En plein débat sur le droit à la caricature, lire ces chroniques de Patrick Rambaud minimise la férocité de Stéphane Guillon.
Rambaud nous livre la description de notre nouveau monarque (en s’en prenant y compris à son physique !) et de sa cour.
Débuté dés le lendemain de l’élection de Sarkozy, il s’appuie sur la réalité et les soi-disant pour décrire les turpitudes du souverain et de son entourage.
La raillerie fait mouche. Rambaud ramène marquis et barons de l’entourage proche du souverain à l’état de valets, de faire-valoir soumis. On rit avec lui de ses facéties, de la déférence qu’il utilise.
Un regard de plus sur l’ultra présidence qui ne manque pas de panache.
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